SESSION STRUCTURE SALLE 241
COMMENT FAVORISER L'ADHÉSION DES PATIENTS À LA PRESCRIPTION D'ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE PAR LA COOPÉRATION ENTRE UN MÉDECIN GÉNÉRALISTE ET UNE INFIRMIÈRE ASALÉE ?
Session MG France
09h30 – 10h50

Objectif pédagogique :

Identifier les bénéfices de la coopération entre une infirmière Asalée et un médecin généraliste pour favoriser l’adhésion du patient à la pratique d’activité physique adaptée.

Margot BAYART, Réalmont

Sandra LAURIER, Éducatrice en activité physique adaptée, Réalmont

Emmanuelle MAILHÉ, Infirmière Asalée, Réalmont




SESSION SALLE 242A
RÉFORME DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE : QUELLE LIBERTÉ DE CHOIX POUR LES MÉDECINS LIBÉRAUX ?
Session FAF-PM
09h30 – 10h50
Modérateur : Charles-Henry GUEZ, Président du FAF-PM

Objectif pédagogique :

Apporter des réponses concrètes sur l’accès à une formation de qualité des médecins libéraux, sous l’angle de la réforme en cours. Focus sur la nouvelle gouvernance, les acteurs et les dispositifs d’accès à la formation : quels aspects sont à prendre en considération pour que ces changements soit efficaces et répondent aux besoins spécifiques de formation des médecins libéraux ?

Claude BRONNER, 1er Vice-Président du FAF-PM, Strasbourg

Stéphane RÉMY, Adjoint au sous-directeur Politiques de formation et du contrôle, Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP)

Jean-François THEBAUT, Président du Haut Conseil du DPC




SESSION STRUCTURE SALLE 242B
L’EXAMEN CLINIQUE DE L’ÉPAULE ATRAUMATIQUE EN MÉDECINE GÉNÉRALE
Session FMC Action
09h30 – 10h50

Objectifs pédagogiques :

  • Identifier les éléments pertinents de l’examen clinique de l’épaule.
  • Orienter la prise en charge en fonction de cet examen.

Yves ABITTEBOUL, Cahors

Fabien BESANCON, Égly

Gérard LEROUX, Épinay-sous-Sénart




SESSION STRUCTURE SALLE 243
UTILISER UN AUTOQUESTIONNAIRE EN CONSULTATION DE MÉDECINE GÉNÉRALE, POUR CONSTRUIRE AVEC UN NOUVEAU PATIENT SON PROJET DE SANTÉ
Session SFDRMG
09h30 – 10h50

Objectifs pédagogiques :

  • Réaliser un plan personnalisé de santé à partir des données recueillies par l’autoquestionnaire
  • L’utiliser dans le cadre de coordination des soins.

Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG

Yves le NOC, Nantes




SESSION STRUCTURE SALLE 251
GÉRER SON TEMPS DE TRAVAIL, LE NERF DE LA GUERRE !
Session ReAGJIR
09h30 – 10h50

Objectif pédagogique :

Apprendre à optimiser son temps de travail afin de trouver le point d’équilibre entre productivité et qualité des soins, ainsi qu’entre vie personnelle et vie professionnelle.

Vanessa FORTANÉ, Bury




SESSION STRUCTURE SALLE 252A
DÉCOUVRIR EN PRATIQUE UN GROUPE BALINT : UN GROUPE DE FORMATION À LA RELATION POUR DÉVELOPPER LA FONCTION THÉRAPEUTIQUE
Session SM Balint
09h30 – 10h50

Objectifs pédagogiques :

Venir découvrir la richesse d’un groupe d’échange de cas de type Balint :

  • pour réguler ses émotions en situation professionnelle,
  • pour développer sa fonction thérapeutique en consultation.

Isabelle MARTINOT-NOUET, Animatrice accréditée par la Société Médicale Balint, MSU chargée d’enseignement Faculté d’Angers

Philippe GUILLOU, Strasbourg, Animateur accrédité par la Société Médicale Balint, Maître de conférence associé à l'université de Strasbourg




SESSION STRUCTURE SALLE 252B
LA DERMATOSCOPIE EN PRATIQUE DE MÉDECINE GÉNÉRALE
Session ADESA
09h30 – 10h50
Animateur : Jean-Marc PARIENTE, Labastide-Saint-Pierre

Objectifs pédagogiques :

  • Décrire le principe de la dermatoscopie.
  • Énumérer les situations dans lesquelles le dermatoscope peut être utilisé.

Hervé GARAT, Marseille

Jean-Claude SOULARY, Dechy




SESSION STRUCTURE SALLE 253
LES GÉNÉRALISTES ET LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES, ACTEURS DE L'INNOVATION EN SANTÉ
Session USMCS
09h30 – 10h50
Animateur : Frédéric VILLEBRUN, Champigny-sur-Marne, Secrétaire Général USMCS

Objectif pédagogique :

Des équipes de soins primaires (ESP) s'apprêtent à participer à des expérimentations nationales pour l'innovation en santé, les fameuses expérimentations "article 51". Ces expérimentations proposent notamment des financements inédits : capitation, paiements forfaitaires en équipe, épisodes de soins, les projets se précisent.

Alain BEAUPIN, Président, Institut Jean-François Rey

Luc DUQUESNEL, Président, Les Généralistes - CSMF

Natacha LEMAIRE, Rapporteur général, Conseil stratégique de l’innovation en santé

Yannick le GUEN, Directeur de la stratégie, Agence Régionale de Santé Ile-de-France



SESSION STRUCTURE SALLE 221/222M
POSE D’UN DIU, LE SAVOIR-ÊTRE AU PREMIER PLAN, PRIMUM MOVENS...
Session SFTG
09h30 – 10h50

Objectif pédagogique :

  • Rendre la pose d’un DIU aisée et non douloureuse par un savoir être adapté.

Marie DUCHEMIN, La Flèche

Élise HOUDEBINE, Angers

Patrick OUVRARD, Angers




SESSION STRUCTURE SALLE 224/225M
RECUEIL DE DONNÉES QUALITATIVES : ET SI ON OBSERVAIT ?
Session FAYR-GP et GROUM-F
09h30 – 10h50

Objectifs pédagogiques :

  • Sensibiliser les participants aux bases théoriques du recueil de données par observation.
  • Inspirer les chercheurs présents à l’essayer à l’issu de l’entretien et à l’utiliser plus largement dans leurs recherches.

Jean-Sébastien CADWALLADER, Paris

Noémie DEPARIS, Salon-de-Provence

Julie GILLES DE LA LONDE, Paris

Maeva JEGO-SABLIER, Marseille



CÉRÉMONIE AMPHI BLEU
CÉRÉMONIE D’OUVERTURE
11h00 – 12h30

Keynote « Des maladies rares pas si rares que ça » Marie-Hélène CERTAIN, Secrétaire Générale du CMG
Jean DONADIEU, Hématologue, Coordonnateur de centre de référence maladies rares, représentant les Filières de Santé Maladies Rares et Maladies Rares Info Services

Cérémonie d’ouverture Paul FRAPPÉ, Président du Collège de la Médecine Générale
Agnès BUZYN, Ministre des Solidarités et de la santé

Programme scientifique Isabelle CIBOIS-HONNORAT, Présidente du Comité Scientifique du CMGF 2019




PLÉNIÈRE AMPHI BLEU
ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUMUN FOCUS (EN FRANÇAIS...) SUR LE MÉDICAMENT
Session co-organisée avec l'ANSM
14h30 – 16h00
Modérateur : François LACOIN, Albens, Responsable du Pôle Médicament du CMG

Un sujet méconnu et pourtant sur les 100 patients vus par un médecin généraliste en une semaine, au moins un serait victime d’une erreur médicamenteuse potentiellement grave et le plus souvent évitable. Comment les identifier et les déclarer ?
Quels sont les patients à risque ? Pourquoi et comment en parler ensemble entre professionnels ? N’hésitez pas et participez nombreux pour apprendre de vos erreurs.

Gilles BONNEFOND, Pharmacien et président de l’Union des Syndicats de Pharmaciens d’Officine (USPO)

Patrick MAISON, Conseiller scientifique auprès de la Direction générale, ANSM

Laure POURRAIN, Saint-Amand-en-Puysaie

Michel SERIN, Saint-Amand-en-Puysaie



PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
INFIRMIÈRE DE SANTÉ PUBLIQUE (IDSP), DE PRATIQUE AVANCÉE (IPA), ASSISTANT MÉDICAL : UN EXERCICE COORDONNÉ ?
14h30 – 16h00

La mutation de l’exercice des médecins généralistes s’est installée progressivement il y a 15 ans avec le développement du travail en équipe dans les Maisons de santé pluriprofessionnelles et la mise en place d’un exercice coordonné en binôme médecin généraliste - infirmière au sein des cabinets de médecine générale dans le cadre du protocole Asalée. L’exercice coordonné s’impose aujourd’hui comme une évidence avec la nécessité de le généraliser (Plan Ma Santé 2022) pour répondre aux nouveaux besoins de santé de la population mais aussi au regard de la démographie des médecins généralistes.

La création de nouveaux métiers que sont les assistants médicaux et les infirmiers de pratiques avancés (IPA), dans la continuité des infirmier(e)s délégué(e)s à la santé publique développé(e)s au sein de l’association Asalée, devraient accompagner et faciliter ce changement des pratiques. Quelles sont leurs missions ? À quels besoins vont-ils répondre ? Comment vont-ils s’articuler les uns avec les autres au service des patients, de la qualité de leurs soins et de la qualité d’exercice des médecins généralistes traitants ?

Cette session sera le lieu d’échanges sur ces nouvelles pratiques intégrées dans les cabinets des médecins généralistes.

Margot BAYART, Réalmont

Anne BRAMAUD du BOUCHERON, Infirmière de pratiques avancées

Juliette BENSOUSSAN, Patiente

Cécile FOURNIER, Sociologue, Institut de Recherche et de Documentation en Économie de la Santé
Agnès GIANNOTTI, Paris



COM.ORALE SALLE 241
SÉCURITÉ ET QUALITÉ DES SOINS
Illustration de Knock ou le triomphe de la médecine - B. Becan
14h30 – 16h00
Modératrice : Michèle RICHEMOND, Paris

Le temps de travail des IMG n’est pas respecté deux ans après le changement de règlement Julien POIMBOEUF, Rennes

Regards croisés de professionnels de santé et de patients concernant la qualité des soins dansle cadre d’un exercice coordonné Béatrice ALLARD-COUALA, Pleumeleuc

Maison de santé pluriprofessionnelle : un lieu idéal pour la prévention et l'éducation à la santé Violaine BRUNELLI MAUFFREY, Tomblaine

Quelques pas vers un environnement plus sûr en soins primaires Isabelle DUPIE, Paris



COM.ORALE SALLE 242A
INÉGALITÉS SOCIALES DE LA SANTÉ
Piggyback justitia - J. Galschiot
14h30 – 16h00
Modératrice : Laure DOMINJON, Romainville

Obésité en milieu précaire : comment agir ? Léa CHARTON, Strasbourg

Recueil des déterminants sociaux de santé par les médecins généralistes : étude observationnelleen consultation.
Maud JOURDAIN, Nantes

Ateliers d'écriture créative pour améliorer la littérature en santé : analyse d'un projet innovant selon une méthode qualitative. Anne-Claire ZIPPER, Aix-les-Bains

Parcours personnalisé soins et prévention d’un public précaire suivi par une association deréinsertion sociale : retour d’expérience vauclusienne. Sandrine HYZARD, Carpentras



SESSION SUISSE SALLE 242B
L’INCERTITUDE EN MÉDECINE GÉNÉRALE
14h30 – 16h00
Modérateur : Daniel WIDMER, Lausanne

Atelier organisé par les jeunes médecins de premier recours Suisses (JHÄS) et par le Département Universitaire de Médecine de Famille, Unisanté, Unil à Lausanne.

Lisa KAMPMANN, Lausanne – Suisse

John NICOLET, Yverdon – Suisse

Salomé TAPPY, Yverdon – Suisse

Daniel WIDMER, Lausanne – Suisse



ORAL COM. SALLE 243
FORGING MEDECINE FOR TOMORROW
Héphaïstos - Anonyme
14h30 – 16h00
Chair:Jean-Claude SOULARY, Dechy

Early life adversities are associated with sleep disorders during pregnancy and postnatal period Imène MLOUKI, Mahdia - Tunisia

Taking in account patient beliefs about the IUD and appropriate behavior for easy and no painful insertion.
Patrick OUVRARD,  Angers

Expectations about development of information technologies in primary care: a multidisciplinaryDelphi study among 23 French experts Jean-Baptiste KERN, Virieu




COM.ORALE SALLE 251
ÉTHIQUE ET CONSCIENCE PROFESSIONNELLE
Le penseur - A. Rodin
14h30 – 16h00
Modérateur : Michel DORÉ, Chelles

Peut-on être médecin traitant et personne de confiance d'un patient ? Revue de littérature Anaïs OBIN-AÏT IDIR, Oissel

Couverture vaccinale antigrippale de 1036 professionnels de santé d’un bassin de santé à l’hiver 2015 – 2016.
Motoko DELAHAYE, Le Monastère

Association entre les « avantages » des firmes pharmaceutiques et les prescriptions des médecinsgénéralistes français en 2016 : étude rétrospective à partir de la base Transparence Santé et du Système National de Données de Sant
Benjamin BASTIAN, Rennes

Écoprescription, enjeu de santé publique ? Étienne CURIEN, Le Val d'Ajol



POSTERS COMMENTÉS SALLE 252A
MISCELLANÉES
La musique - Klimt
14h30 – 16h00
Modératrice : Céline BUFFEL du VAURE, Paris

Existe-t-il un lien entre la satisfaction sexuelle de femmes de 50 à 69 ans et les maladies cardio-vasculaires?
Étude réalisée dans la cohorte Constances Anne PAILLIEZ, Malmaison

La démarche participative : un atout pour la mise en place d’actions collectives d’éducation thérapeutique du patient Delphine DESPINOY, Nanterre

Création d’un cahier des charges du cabinet durable (SanteDurable.net) à partir d’une étudequalitative sur les pratiques des médecins généralistes Julie LEGRAND, Morsang-sur-Orge

Découverte de l'échoscopie en médecine générale pour les internes. Mariela SKENDI, Paris



SESSION SALLE 252B
SPORT SUR ORDONNANCE : À CHAQUE PATIENT SA PRESCRIPTION !
Session organisée par Nutrimédia
14h30 – 16h00

On dit souvent que pour être en bonne santé il faut faire de l'activité physique. Pourtant c'est moins l'activité physique que la condition physique qui mène à une meilleure santé et à un ajout des années à la vie. Le principal facteur de la condition physique est la capacité aérobie qui peut s'exprimer en METs. La meilleure façon d’évaluer la capacité aérobie en METs est le test à l’effort, car on mesure en direct la consommation d’oxygène. Celui-ci est problématique : long, couteux, difficilement accessible à tous et ... maximal. Mais il existe d’autres méthodes d’estimation ou d’évaluation:

- la relation avec certaines activités du quotidien
- un questionnaire en 6 questions
- la relation avec certaines activités sportives- un test indirect et sous-maximal sur une marche d’escalier ou un step
- un test indirect et sous-maximal sur vélo, tapis-roulant, elliptique, rameur
L'atelier-conférence tentera de démontrer, en théorie et en pratique, comment évaluer et, ensuite, améliorer efficacement la capacité aérobie en METs des patients.

Daniel MERCIER, Physiologiste de l'exercice




COM.ORALE SALLE 253
COOPÉRATION INTERPROFESSIONNELLE
Les joueurs de cartes - P. Cézanne
14h30 – 16h00
Modérateur : Simon FRÉMAUX, Paris

Collaboration médecin-infirmier en montagne : étude de l’influence de la présence d’un infirmier en cabinet de station de sports d’hiver sur le délai de prise en charge de la douleur en traumatologie dans 14 cabinet Suzanne MIRTAIN,
Val Cenis

Évaluation de la collaboration entre les médecins généralistes et les pharmaciens ambulatoires. Recherche action menée dans un quartier liégeois (Belgique) Élise NAVEAU, Liège - Belgique

La collaboration entre médecins généralistes et orthoptistes dans le dépistage des troublesvisuels chez l'enfant : état des lieux, obstacles et pistes d'amélioration Hélène DIGUET, Rennes

Médecins généralistes et psychologues : quelles collaborations ? Retour d’expériences derencontres interprofessionnelles dans le bassin de santé du Comminges. Yohann VERGES, Toulouse - Stéphanie VERNHES, Saint-Gaudens



ZONE D’EXPO SALLE 250B
OUTILS DU QUESTIONNEMENT, AUTO-QUESTIONNAIRES, QUOI FAIRE DES RÉPONSES ? OUTILS À REMPLIR VISANT À QUESTIONNER LE MÉDECIN AUTANT QUE LE PATIENT
14h30 – 16h00

Le patient inconnu : un outil pour préparer la relation et construire un plan personnalisé de santé (PPS).
Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG

Questionnaire FACE dans la démarche RPIB Francis ABRAMOVICI, Lagny-sur-Marne, CMG

Symptômes médicalement inexpliqués : guide à la réalisation d'une consultation longue d'ouverture dite « Entretien Prolongé Co-Programmé ». Olivier NARDON, Mantes-la-Jolie

Recherche d’antécédents de psychotraumatisme (violence verbale, physique ou sexuelle…) : quoi proposer (EMDR…), comment et où adresser ? Gilles LAZIMI, Paris



PLÉNIÈRE AMPHI BLEU
DORMIR OU MOURIR : PRATIQUES SÉDATIVES
Session avec la participation de la Haute Autorité de Santé (HAS)
16h30 – 18h00
Modérateur : Charles-Henry GUEZ, Sainte-Foy-lès-Lyon, CMG

Les patients souhaitent, dans la mesure du possible, finir leur vie à domicile. Les derniers jours de vie sont très importants pour celui qui s’en va et pour son entourage. La loi sur la fin de vie est là pour aider les soignants dans la prise en charge globale de cette situation.Des référentiels sur la conduite à tenir y compris dans la gestion de la médication sont proposés par la HAS. Comment l’organiser dans nos pratiques ? Quels sont les freins à notre accompagnement, de quoi avons-nous besoin pour être plus proches des souhaits de nos patients ?

Jean-Claude DARRIEUX, Les Essarts-le-Roi

Jean-Michel GOMAS, Président du Conseil scientifique de la SFAP, Chef de projet démarche palliative à l'Hôpital à Domicile (HAD) de santé Service

Caroline LATAPY, Chef de projet, service évaluation de la pertinence des soins et amélioration des pratiques et des parcours, HAS




PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
RISQUE CARDIOVASCULAIRE, ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT : OUTILS MÉDECIN, OUTILS PATIENT
16h30 – 18h00
Modérateurs : Francis PELLET, Les Vans - Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG

Il existe de multiples facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. Beaucoup reposent sur des comportements : sédentarité, alimentation, tabagisme, alcoolisme, ou sur des modes de vie comme le stress. Ils ont un poids important dans le risque et leur correction a souvent un effet supérieur ou égal à celui de prescriptons médicamenteuses. Même si le traitement médicamenteux de l’HTA ou d’une dyslipidémie sont souvent indispensables, dans ces cas, les stratégies prescriptives sont alors inopérantes. L’éducation thérapeutique a toute sa place. En consultation avec le patient et dans les équipes de soins primaires, des outils facilitent cette éducation. Ils sont « centrés patient », ils permettent avec le patient une co-construction d’un plan personnalisé de santé. Cette session permettra de présenter quelques outils et les concepts qui sous-tendent leur utilisation.

Le PPS : des questions au cœur du projet de santé. Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG

Au cœur des priorités. Francis PELLET, Les Vans

Promouvoir la santé dans la société de la mise en risque du monde. Jean-Michel PICARD, Infirmier-consultant en ETP
et promotion de la santé, Coordinateur de la JUGS

Vous avez dit “Éducation Thérapeutique” ? Brigitte SANDRIN-BERTHON, Directrice de l’Association Française pour le Développement de l’Éducation Thérapeutique (AFDET)



TABLE RONDE SALLE 241
LA RECHERCHE EN MÉDECINE GÉNÉRALE EN CANCÉROLOGIE
Session co-organisée avec l’INCa
16h30 – 18h00
Modérateurs : Jérôme FOUCAUD, Responsable du Département recherche en sciences humaines et sociales, épidémiologie et santé publique, INCa - Bernard FRÈCHE, Royan, Responsable du Pôle Cancer du CMG

Cette table ronde, organisée conjointement par l’Institut National du Cancer et le Collège de la Médecine Générale, a pour objectif de mieux faire connaître la recherche en cancérologie, en médecine générale. Qui sont ces médecins généralistes chercheurs ? Sur quelles thématiques travaillent-ils ? Quelles sont les forces et les faiblesses de la recherche en médecine générale aujourd’hui ? Comment aider à structurer la discipline ?

Laetitia GAMBOTTI, Responsable du Département recherche clinique, INCa

Marie-Ève ROUGÉ-BUGAT, Toulouse, CMG




COM.ORALE SALLE 242A
FORMATION MÉDICALE INTERPROFESSIONNELLE
Le jeune apprenti - A. Modigliani
16h30 – 18h00
Modérateur : Yannick SCHMITT, Lingolsheim

Violence chez les médecins de premier recours : les étudiants du DES de médecine générale également concernés. Olivier BOUCHY, Nancy - Clément SCHEIBER, Nancy

Élaboration par DELPHI d'une formation à l'abord de la sexualité en médecine générale, destinée aux internes.
Évelyne MERTZ, Grenoble

Enseignement initial de la médecine manuelle orthopédique et ostéopathique pour étudiants en médecine en 2ème cycle. L’expérience de l’UPEC Créteil Marc ROZENBLAT, Ozoir-la-Ferrière

La médecine générale experte de formation à la pratique ambulatoire des spécialités médicales : exemple d’une coopération DMG-psychiatrie Éric MENER, Rennes



COM.ORALE SALLE 242B
STRUCTURER POUR CHERCHER
Composition en rouge jaune, bleu et noir - P. Mondrian
16h30 – 18h00
Modérateur : Jean-Baptiste KERN, Virieu-sur-Bourbre

Quelles sont les attentes des MSU concernant l’ergonomie de présentation et d’utilisation des dossiers patients dans leur logiciel métier ? Stéphanie BUCHERON, Favières

Outil de classement de la recherche d’après la « loi Jardé » à destination des internes de médecine générale.
Adeline JOUANNIN, Rennes

L'annuaire Recherche. Noémie DEPARIS, Salon-de-Provence




WORKSHOP SALLE 243
CONTINUING MEDICAL EDUCATION (CME) AND CONTINUING PROFESSIONAL DEVELOPMENT (CPD), A MAJOR CHALLENGE FOR EUROPEAN GPS?
16h30 – 18h00

All european GPs are concerned by cross-border mobility and exchanges, they share a common scientific culture and professionalism, face the same challenges in their daily practice (caring for an aging population and responding to an increasing burden of chronic non communicable diseases in the context of a shortage of primary care physicians…) and have the same concerns regarding maintenance of competence. However, there is no overarching framework regarding quality and independence of continuing medical education (CME)-continuing professional development (CPD) of GPs at European level.
In order to address the needs of the GPs and their clinical practice gaps, disseminate scientific evidence, efficiently maximize impact on learning and patient outcomes and ensure independence from private third parties interests:

What set of common rules and principles could be identified and articulated at European level to plan and conduct independent CME-CPD activities?

What educational formats and quality improvement methods should be promoted atEuropean level for CPD/CME?
(What guidelines to be selected? What kinds of methods to be implemented?)

Anne DEPAIGNE-LOTH, Scientific officer, assessment and impact studies, French National Agency for CPD

Henry FINNEGAN, Chair of the working group CME/CPD of UEMO

Patrick OUVRARD,Vice president of UEMO, CMG




COM.ORALE SALLE 251
MÉMOIRE ET CHUTE
La persistance de la mémoire - S. Dali
16h30 – 18h00
Modératrice : Isabelle MARTINOT-NOUET, Murs-Érigné

Facteurs associés à la maladie d'Alzheimer : fouille de données dans le PMSI en 2008 et 2014. Michaël ROCHOY, Outreau

Étude de la faisabilité d’une évaluation gériatrique standardisée et d’un plan personnalisé de santé en médecine générale de ville. Bastien MICHAU, Créteil

L'écoute musicale au domicile au service des personnes atteintes de Maladie d'Alzheimer et leurs aidants.
Laetitia HENNETON, Lyon

Faites un pied de nez aux chutes. Ophélie LEFEBVRE, Sublaines



POSTERS COMMENTÉS SALLE 252A
POLYVALENCE DE L'ENFANT À LA FEMME
Adolescence - S. Dali
16h30 – 18h00
Modérateur : Henri PARTOUCHE, Paris

La cyberaddiction chez les collégiens et les lycéens à la région de BiZerte, où est-on ? Jamila HASSINE, Bizerte - Tunisie

La présence d’un enfant lors d’une consultation gynécologique : vécu des médecins généralistes. Hermine SAGUY, Cabestany

Utilisation d’une coupe menstruelle : quel rôle du médecin généraliste auprès des patientes ? Enquête qualitative auprès de femmes utilisatrices. Lucile BERTEAU, Saint-Malo




COM.ORALE SALLE 252B
EXERCICES PROFESSIONNELS
Les raboteurs de parquet - G. Caillebotte
16h30 – 18h00
Modérateur : Philippe GUILLOU, Strasbourg

Description des méthodes de prévention de l'épuisement professionnel des médecins : revue systématique de la littérature. Ségolène GUILLEMETTE, Bernay

Estimation des durées de suivi des pathologies aiguës en médecine générale. Fréderic CHEVALLIER, Ermont

Méthode d'élaboration et de validation de démarches diagnostiques spécifiques à la médecine générale.
Julie CHOUILLY, Poitiers - Damien JOUTEAU, Vivonne

Récidiviste pour missions humanitaires recherché ou quel impact pour mon quotidien de médecin généraliste ?
Jean-Claude LENERS, Ettelbruck




COM.ORALE SALLE 253
SANTÉ SUR UN TERRITOIRE
Salut - Sanfourche
16h30 – 18h00
Modérateur : Simon CHABAS, Lançon-Provence

Évaluation de l’impact d’une formation pluriprofessionnelle, en Meuse, au repérage et à l’accompagnement en soins primaires des femmes victimes de violences conjugales. Audrey RONCHI, Cheminot et Richemont

Projet d'intervention communautaire : promotion de l'allaitement maternel. Coralie ALVES, Líjo - Portugal

Enquête sur l’activité dermatologique du médecin généraliste dans notre région et la nécessité d’un avis dermatologique ou télédermatologique. Aude LAYAN, Pau

Démarche communautaire pour améliorer la prise en charge des morsures de serpents dans une commune rurale de Guinée. Abdoulaye Aguibou BARRY, Timbi-Madina - République de Guinée



PLÉNIÈRE AMPHI BLEU
CES PATIENTS QUI SONT AUSSI DES « TRAVAILLEURS »
Session co-organisée avec la CNAM
09h00 – 10h30
Modérateur : Aline RAMOND-ROQUIN, Angers, CMG

L’objectif est de sensibiliser les médecins généralistes à la problématique de la santé au travail. Une première intervention permettra de mieux appréhender l’évolution du monde du travail. Une seconde intervention décrira les outils de maintien en emploi ainsi que les enjeux de la communication entre médecins généralistes et médecins du travail. Une dernière intervention présentera les outils mis à disposition des médecins généralistes par la CNAM en prenant l’exemple des patients lombalgiques.

Évolution des conditions de travail. Maryline BEQUE, Direction de l’Animation de la Recherche, des Études et des Statistiques (DARES)

Maintien en emploi et communication entre médecins généralistes et médecins du travail. Cyril BÈGUE, Angers
Audrey PETIT, membre de la Société française de médecine du travail, rhumatologue au Centre de ressources
de pathologie professionnelle et de maintien en emploi du CHU d’Angers

Lombalgies : présentation des outils d’accompagnement existants. François-Xavier BROUCK, Direction des Assurés, CNAM




PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
ANTIBIOTIQUES ET MICROBIOTE : DES DONNÉES POUR NOTRE PRATIQUE ?
09h00 – 10h30
Modérateur : Francis ABRAMOVICI, Lagny-sur-Marne, CMG

La prescription d’antibiotiques engendre une responsabilité collective du fait de l’antibiorésistance et individuelle du fait des conséquences sur le microbiote. Cette plénière fera le point sur l’antibiorésistance mais aussi sur les connaissances actuelles enterme de microbiote et ouvrira des pistes sur l’utilisation de ces données pour favoriser une décision partagée avec le patient.

Antoine ANDREMONT, Professeur Émérite de la Faculté de Médecine Paris Diderot, Cofondateur de Davolterra

François LIARD, Saint-Épain

Céline PULCINI, Cheffe du Projet national Antibiorésistance, Ministère des Solidarités et de la Santé




SESSION SALLE 241
CERTIFICATION, ÉVALUATION DES COMPÉTENCES TOUT AU LONG DE LA VIE
09h00 – 10h30
Modérateur : Marie-Hélène CERTAIN, Les Mureaux, Secrétaire Générale du CMG

Au moment où les exigences de la société se font de plus en plus pressantes, où l’évaluation des pratiques professionnelles est obligatoire, il parait maintenant souhaitable de s’engager résolument dans l’évaluation des compétences tout au long de la vie. Le rapport sur la certification remis par le Pr. Serge UZAN à la Ministre de la Santé trace les contours et les modalités d’une recertification. Comprendre ce qu’est une compétence pour construire son portfolio, s’autoévaluer, échanger avec l’auteur du rapport sont les objectifs de cette session.

Une compétence, un savoir agir en lien avec un référentiel métier. Marie-Hélène CERTAIN, Les Mureaux,
Secrétaire Générale du CMG

La certification mode d’emploi. Serge UZAN, Conseiller spécial auprès du Président de Sorbonne Université, Conseiller départemental et national du Conseil National de l’Ordre des Médecins, Président du Comité de Pilotage
de la Recertification des médecins




COM.ORALE SALLE 242A
DÉPISTAGE DES CANCERS
Le petit pêcheur d'étoiles - N. Ragoust
09h00 - 10h30
Modérateur : Bernard CLARY, Trèbes

Mobiliser les patientes pour le dépistage du cancer du col de l'utérus : une étude qualitative Jean-Marc FRANCO,
Saint Philippe - La Réunion

Revue systématique de la littérature portant sur les outils d’aide à la décision chez les femmes éligibles au dépistage du cancer du sein par mammographie Sandrine HILD, Nantes

Évolution des pratiques de dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA sérique total, dans la population générale française sur la période 2006 – 2017 : étude nationale à partir de l’Échantillon Généraliste de Bénéficiaires (EGB) Valérian CAPELLE, Rennes

Dépistage organisé du cancer colorectal : diffusion auprès des médecins généralistes d'une liste nominative de leurs patients non participants. Quel impact sur la participation et le taux de cancers à 2 ans ? Héloïse SCHMELTZ, Nantes



COM.ORALE SALLE 242B
COMPORTEMENT SANTÉ
L'homme qui marche - A. Giacometti
09h00 - 10h30
Modérateur : Ouri CHAPIRO, Vincennes

Quand le patient végétarien rencontre le médecin généraliste : création et validation d’un support d’information pour les professionnels sur l’alimentation végétarienne équilibrée. Loïc BLANCHET-MAZUEL, Saint-Genis-les-Ollières

Évaluation, au sein d’un cabinet de groupe de médecins généralistes de l’évolution de la pratique d’activité physique chez des femmes inactives âgées de 50 à 60 ans après prescription écrite. Jonathan GOMICHON, Bordeaux

Place du médecin généraliste dans le traitement de l’ostéoporose fracturaire de la personne âgée Mickaël MASSOT,
Dol-de-Bretagne

Prise en charge ambulatoire des patients de plus de 75 ans par les médecins généralistes un an après une hospitalisation pour fracture ostéoporotique sévère. Hélène BLANCHET, Pau



ROUNDTABLE SALLE 243
E-HEALTH: TELEMEDICINE, TELE-EXPERTISE, TELE-MONITORING, CONNECTED DEVICES. HOW DOES THIS IMPACT THE DOCTOR-PATIENT RELATIONSHIP?
09h00 – 10h30

We will discuss the changes in relationship GP-patient: adherence, confidence, responsibility, compliance, etc.

Vanessa HERNANDO, Project manager, App and connected devices in mobile health, Haute Autorité de Santé (HAS)

Dagmar NUBER, Business development manager Europe, Trice Imaging - Germany

Pierre TRUDELLE, Project manager, App and connected devices in mobile health, Haute Autorité de Santé (HAS)




COM.ORALE SALLE 251
PERSPECTIVES
Vegan 200 - V. Vasarely
09h00 - 10h30
Modérateur : Christian MICHEL, Strasbourg

Devenir des médecins généralistes de la Faculté Paris-Sud. Suivi d’une cohorte : enquête auprès des promotions 2004
à 2012 Adeline ALESTRA, Kremlin-Bicêtre

Les objets connectés en médecine générale : leurs enjeux, avantages et inconvénients, selon les internes de la spécialité. Marion COURTIN, Villeneuve-le-Roi

Le partage informatisé des données de santé : enquête auprès des professionnels de santé et des patients en France
en 2017 Matthieu CAMPA, Grenoble

Veille sanitaire sentinelle et logiciels métier : évaluation d’un nouveau module automatisé de collecte de données. Laetitia VAILLANT, Paris



COM.ORALE SALLE 252B
MÉDICAMENT ET PHARMACIE
Campell's soup cans - A. Warhol
09h00 - 10h30
Modératrice : Julie CHASTANG, Arcueil

Prise en charge de la douleur de l’enfant en ambulatoire : le paracétamol et les AINS associés à des interventions non médicamenteuses sont à privilégier. Élodie MILLION, Montpellier

Évaluation d’une notice d’information sur les solutés de réhydratation orale : étude qualitative auprès de professionnels de santé et d’usagers. Sumathy RAJAMANICKAM, Choisy-le-Roi

Identification des médicaments par le patient : perception des patients, médecins et pharmaciens
Frédéric TRANCHARD,Toulouse

Évaluation des risques et des dysfonctionnements des armoires à pharmacies familiales. Céline LEMARIÉ, Gardanne



SESSION COURTE SALLE 253
REPÉRER, PROTÉGER, ACCOMPAGNER
La petite fille au ballon - Banksy
09h00 - 10h30
Modératrice : Anne-Claire BENOTEAU, Vigneux-de-Bretagne

Violences sexuelles et adolescence : état des lieux aux Antilles françaises. Philippe CARRÈRE, Saint-Claude

Places des médecins généralistes pour des parents contraints à une prestation ou mesure éducative après information préoccupante ou signalement Laure VALGALIER, Saint-Hilaire-de-Brethmas




SESSION COURTE SALLE 223M
1 DIAPO, 5 MINUTES
09h00 - 10h30
Modérateurs : Sophie SUN, Villeurbanne - Louis-Baptiste JAUNAY, Montreuil

Vous êtes en cours de thèse ou vous travaillez sur un projet de recherche, et :

  • Vous avez besoin d’aide pour choisir ou appliquer votre méthode,
  • Vous êtes bloqués dans l’analyse et l’interprétation de vos résultats. Cette session est faite pour vous !
  • Vous aurez 1 diapositive (1 seule) et 5 minutes pour exposer votre travail, votre problématique et poser votre question !
  • 10 minutes de débat permettront ensuite à l’assistance de répondre à vos questions : assistance constituée de vos pairs, mais également de quelques experts méthodologiques qui vous feront profiter de leur expertise.




ZONE D’EXPO SALLE 250A
LES GESTES QUI SAUVENT
Session organisée par le Service de Santé des Armées
09h00 - 10h30

Du secourisme au combat aux gestes réflexes qu’il faut avoir face à une ou plusieurs victimes de lésions potentiellement vitales, la méthode d'évaluation et de prise en charge à l'avant du service de santé des armées permet au soignant libéral, au médecin généraliste de limiter les risques de décès évitables. À l'issue de cet atelier, il sera en mesure de s'ajuster à de telles situations avec peu de moyens, avec efficacité et en initiant un parcours de soin cohérent.

Pierre GUÉNOT, Praticien confirmé, médecin adjoint antenne médicale de la base aérienne, Cazaux

Sébastien RAMADE, Praticien certifié, Centre d'enseignement et de simulation à la médecine opérationnelle, École du Val-de-Grâce, Paris

David VARVENNE, Praticien, médecin adjoint Bataillon des marins-pompiers, Marseille Un infirmier CESimMO EVDG
Un infirmier BSPP




TABLE RONDE AMPHI BLEU
LA VIE 5 ANS APRÈS UN DIAGNOSTIC DE CANCER : COMMENT MIEUX ACCOMPAGNER NOS PATIENTS ?
Session co-organisée avec l’INCa
11h00 – 12h30
Modératrices : Marie-Hélène CERTAIN, Les Mureaux, Secrétaire Générale du CMG - Fabienne COURDESSES, INCa

Plus de 3 millions de personnes en France vivent aujourd’hui avec un cancer, ou en ont guéri. L’INCa a fait de l’après cancer un des axes stratégiques du 3ème plan cancer pour préserver la continuité, la santé et la qualité de vie des personnes ayant eu un cancer.

  • Quel est l’état des lieux de la santé des patients 5 ans après un diagnostic de cancer ?
  • Quelles sont les attentes des patients, des médecins généralistes, des spécialistes encancérologie ?
  • Quelle place pour les différents acteurs ? Comment, et avec quels outils ceux-ci peuvent-ils travailler ensemble dans le but de mieux répondre aux attentes et besoins du patient, que ce soit au niveau du cancer et de sa santé globale ?

L’objectif de cette session, est de partager des expériences et contenus disciplinaires pour faire des propositions d’amélioration de l’accompagnement des patients après un diagnostic de cancer.

Émilie FERRAT, Saint-Maur-des-Fossés, CMG

Emmanuel JAMMES, Ligue contre le cancerWilliam MIRAT, Paris

William MIRAT, Paris

Christophe TOURNIGAND, Oncologue, Hôpital Henri-Mondor, Créteil



PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
UN ADOLESCENT PEUT EN CACHER UN AUTRE : MIEUX LE COMPRENDRE POUR BIEN L’ACCOMPAGNER
Session co-organisée avec Santé publique France
11h00 - 12h30
Modérateurs : Gladys IBANEZ, Villejuif, Co-responsable du Pôle sur les ISS du CMG - Raphaël LOZAT, Moissac, Responsable du Pôle Santé des Populations du CMG

Le médecin généraliste voit des jeunes au quotidien, ponctuellement ou plus régulièrement; il connait leur environnement, souvent leur famille. Quel que soit le motif et/ou la demande de l’adolescent, il est important de savoir repérer au cours du temps d’une consultation les comportements à risque et les problèmes pas toujours exprimés, pour guider l’adolescent et sa famille dans son parcours de santé. Cette session permettra de présenter les services d’aide adaptés à la société numérique dans laquelle l’adolescent évolue.

Bien-être et mal-être à l’adolescence. Enguerrand du ROSCOÄT, Responsable de l’unité santé mentale, Direction prévention et promotion de la santé, Santé publique France

Une rencontre incontournable mais qui ne va pas (toujours) de soi. Marie MORELIÈRE, Meulan-en-Yvelines,
Médecin d’adolescent de liaison au CHI de Poissy

Parler avec les jeunes, les atouts de l’aide à distance. Karine GROUARD, Directrice adjointe, Direction de l'aide et de la diffusion aux publics, Santé publique France

Médecins généralistes et maison des adolescents : expériences croisées inspirantes.. Paul JACQUIN, Pédiatre,
Hôpital Robert-Debré, Coordinateur d'une Maison Des Adolescents (MDA)




SESSION SALLE 241
DÉMENCES ET ALTERNATIVES THÉRAPEUTIQUES. ASPECTS ÉTHIQUES
11h00 – 12h30
Modérateur : Laurent LETRILLIART, Villeurbanne, CMG

Après réévaluation des anticholinestérasiques au terme de 5 ans d’utilisation, la HAS a préconisé le non remboursement de ces traitements. La décision ministérielle est intervenue confirmant le non remboursement par l’Assurance maladie. Le Collège de la Médecine Générale participe activement au groupe de travail missionné pour redéfinir le parcours de soins des patients et des aidants. Les travaux du Plan Maladies Neurodégénératives (PMND) et la récente recommandation HAS seront présentés et suivis d’échanges avec les participants.

Guide au parcours de soins des patients présentant un trouble neurocognitif associé à la maladie d’Alzheimer ou à une maladie apparentée. Marie-Hélène RODDE-DUNET, Chef du service Évaluation de la pertinence des soins et Amélioration des pratiques et des parcours, HAS

Les évolutions du Plan Maladies neurodégénératives, bilan à 1 an. Michel CLANET, Président du Plan Maladies Neurodégénératives

Témoignages de patients atteints de la maladie; le rôle des aidants et des associations. Judith MOLLARD-PALACIOS, Psychologue, France Alzheimer




COM.ORALE SALLE 242A
ÉDUCATION À LA SANTÉ DU PATIENT
De l'eau, de l'air, de la lumière - A. Colin
11h00 – 12h30
Modératrice : Élisabeth STEYER, Talange

Outil de sensibilisation au don du sang en médecine générale : acceptabilité et préférencesdes patients et des médecins. Adeline JOUANNIN, Rennes - Pierre LE DOUARON, Rennes

Exploration des représentations de patients d'une maison de santé pluriprofessionnellesur la collaboration interprofessionnelle : enquête qualitative auprès de participants à un programme d'éducation thérapeutique ambulatoire. Adeline BLANCHARD, Rennes

Étude prospective de la qualité de vie d’un programme de sport santé en ville moyenne. Sébastien ADNOT, Carpentras




COM.ORALE SALLE 242B
PRÉVENTION ET DÉPISTAGE
La diseuse de bonne aventure - Le Caravage
11h00 – 12h30
Modérateur : Humbert de Freminville, Arnas

11h00 – 12h30

Prévention : quelles attentes vis-à-vis des professionnels de santé ? Marie BOREL, Le Kremlin-Bicêtre

La prévalence du diabète type 2 en Afrique du nord. Mohammed LAIFA, Alger - Algérie

Le nombre de consultation dans l’année est-il un marqueur objectif de trouble psychosomatique ?
Olivier KANDEL, Poitiers

Le dépistage du saturnisme infantile : leurre ou réalité ? Jean-Luc GRIES, Dettwiller



WORKSHOP SALLE 243
VACCINATION: HOW TO DEAL WITH PATIENT'S RELUCTANCE TO USE SAFE AND EFFECTIVE VACCINES TO PREVENT SERIOUS, SOMETIMES LIFE-CHANGING OR FATAL DISEASES?
11h00 – 12h30

European countries are facing with an increasing vaccine hesitancy within the population, despite the evidences. The aim of the workshop is to think about how to increase vaccination average. We will list:

  • barriers and facilitators
  • actions to be done to increase vaccine’s coverage and adhesion At the end of the workshop, we expect that attendees will have a clearer view to deal with reluctant patients.

Gindrovel DUMITRA, Vice president of National Society of Family Medicine in Romania, Member of IAB Euripa,
General Secretary of UEMO

Sylvie QUELET, Director of prevention and health promotion, Santé publique France, Former medical chief of the vaccination of Parisian centres, Director of infectious diseases at a French public health agency

Henri PARTOUCHE, MD. Department of General Practice, Medical Faculty, University of Paris Descartes. member of the CNGE Scientific Committee, member of the Public Health Council for infectious diseases and emerging diseases,
French public Health Agency




COM.ORALE SALLE 251
PRESCRIPTION MÉDICAMENTEUSE
Le scribe accroupi - Égyptien V
11h00 - 12h30
Modérateur : Philippe BOISNAULT, Magny-en-Vexin

Représentations cognitives, affectives et comportementales sur l'hypercholestérolémie et sontraitement de patients sous statines. Maxime MOULIN, Chambéry

Comparaison de l'efficacité et de la sécurité des anticoagulants oraux dans les 6 premiersmois suivant l’instauration du traitement chez les patients atteints de fibrillation auriculaire non valvulaire. Thibault MENINI, Clermont-Ferrand

Sécurité d’utilisation des anticoagulants en médecine générale : résultats à un an de la cohorteprospective multicentrique CACAO. Paul FRAPPÉ, Saint-Étienne




COM.ORALE SALLE 252B
SUIVI APRÈS LA GROSSESSE
Le berceau - B. Morisot
11h00 - 12h30
Modératrice : Émilie BOURGES, Villepinte

Accompagnement psychologique des femmes par les professionnels de santé dans l'annéesuivant leur accouchement : les patientes sont-elles satisfaites Benjamin BASTIAN, Rennes

Intérêt et utilisation pratique des questions de Whooley en médecine générale pour ledépistage de la dépression du post-partum. Enquête auprès des médecins généralistes. Andry RABIAZA, Deauville

L'allaitement long : vécu de médecins généralistes du Nord. Judith OLLIVON, Sailly-sur-la-Lys

Repérage du burn out maternel par les médecins généralistes : à propos de 540 mères de famille. Motoko DELAHAYE,
Le Monastère




COM.ORALE SALLE 253
PRENDRE SOIN DES ADOLESCENTS
Le jeune homme couronné aux feuillages
11h00 - 12h30
Modératrice : Julie LEGRAND, Morsang-sur-Orge

Connaissances, attitudes et pratiques en matière de santé affective et sexuelle parmi les adolescents scolarisés en classe de seconde aux Antilles françaises – CAPSEX-AF : protocole et premiers résultats. Philippe CARRÈRE, Saint-Claude

Vécu et représentations du premier rapport sexuel chez les adolescentes Clotilde CHANAL

Intérêt de l'extension de la vaccination anti-papillomavirus aux jeunes hommes. Étude quantitative dans deux départements. Alice MAUDET, Le Mans - Marion GANOT, Le Mans

La prise en charge des mineurs non accompagnés en médecine générale de famille. Louise ROSSIGNOL, Nanterre



SHORT SESSION SALLE 223M
1 SLIDE, 5 MINUTES
11h00 - 12h30
Chairs: Sophie SUN, Villeurbanne - Louis-Baptiste JAUNAY, Montreuil

This session is for researchers who want to suggest an idea for research, raise a question concerning a research problem or want to invite others to participate in a planned study. This session is not for preliminary results. Five minutes is allocated for the presentation, using only one slide! Then there is five minutes for discussion.




ZONE D’EXPO SALLE 250A
LE MÉDECIN GÉNÉRALISTE MILITAIRE EN OPÉRATION EXTÉRIEURE
Session organisée par le Service de Santé des Armées
11h00 - 12h30
Modérateurs : Pierre GUÉNOT, Praticien confirmé, médecin adjoint antenne médicale de la base aérienne, Cazaux - Sébastien RAMADE, Praticien certifié, Centre d'enseignement et de simulation à la médecine opérationnelle, École du Val-de-Grâce, Paris

L'une des missions principales du Service de santé des armées est le soutien des forces militaires. Au travers de trois retours d'expérience de médecin généraliste, l'auditeur pourra percevoir la pluralité des missions et des savoir-faire exigés. Occasion de discuter, de s'intéresser et pourquoi pas de permettre aux praticiens civils de nous rejoindre dans de telles aventures humaines, techniques et de soins au sein de la réserve opérationnelle du Service de santé des armées.

Retour d’expérience n°1 : Aide médicale à la population. David VARVENNE, Praticien, médecin adjoint Bataillon
des marins-pompiers, Marseille

Retour d’expérience n°2 : Le médecin généraliste embarqué. Julien PONTIS, Praticien confirmé, médecin de l'escadrille
des Sous-marins nucléaires d'attaque, Toulon

Retour d’expérience n°3 : Soutien médical à l’avant : le médecin des Forces Spéciales. Gabriel MORAND, Praticien, médecin adjoint de l'antenne médicale spécialisée, Bayonne




ZONE D’EXPO SALLE 250B
OUTILS DU PARCOURS DE SOIN ET DU TERRITOIRE. OUTILS DE L’ETP INDIVIDUELLE VISANT À DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DES PATIENTS AVANT, PENDANT ET APRÈS LA CONSULTATION
11h00 - 12h30

Acteur du développement des compétences du patient : ASALÉE « du cousu main » Élodie GUICHARD, IDESP ASALÉE

Un parcours de soins c’est quoi pour l’enfant obèse ? Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG

Accompagnement des publics vulnérables en difficultés d’insertion sociale : quel rôle pour les médecins généralistes ? Bernard EL GHOZI, Créteil - Andrew CANVA, Chef de projet




ZONE D’EXPO SALLE 250B
3 MINUTES CHRONO
13h45 - 14h30
Modératrices : Louise DEVILLERS, Montigny-le-Bretonneux - Juliette PINOT, Suresnes

Cette session permet aux thésards et doctorants de présenter leur sujet de recherche, en français et en termes simples, à un auditoire de congressistes diversifié.Chaque étudiant ou étudiante doit faire, en trois minutes, un exposé clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche. Le tout avec l’appui d’une seule diapositive !




TABLE RONDE AMPHI BLEU
CANCERS, GLYPHOSATE ET PERTURBATEURS ENDOCRINIENS,COMMENT GÉRER L'INFORMATION ?
Session co-organisée avec l’INCa
14h30 - 16h00
Modérateurs : Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG - Julie GAILLOT, Responsable du Département Prévention, INCa

Pesticides - dont chlordécone et glyphosate - bisphénols, parabènes, perturbateurs endocriniens en général ont les honneurs de la presse médicale et non médicale, non sans controverses. Quels sont les défis pour produire des données les concernant ? Comment ces données sont-elles gérées ? Quels sont les jeux d'acteurs au niveau sanitaire et politique ? Comment les médecins généralistes peuvent eux-mêmes intégrer cette information pour et avec leurs patients ? Cette table ronde proposera des éclairages pour ces problèmes sanitaires et sociétaux d’actualité emblématiques.

Le défi scientifique de l’évaluation des risques liés aux perturbateurs endocriniens. Alice DESBIOLLES, Médecin de santé publique, INCa

Glyphosate : circulation et utilisation de l’information et jeux d’acteurs. François VEILLERETTE, Directeur de l’association Générations Futures

Le médecin généraliste : comment gérer l'information ? Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG

Réflexion sur la confiance et la défiance vis-à-vis de l’information scientifique Pascal MAUREL, Journaliste médical - Président d'Ortus



PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
TABAC & JEUNES
Session co-organisée avec Santé publique France
14h30 - 16h00
Modérateurs : Thierry ARNAUD, Mulhouse, CMG - Jean-Louis BENSOUSSAN, Castelmaurou, CMG

Le tabac chez les jeunes devient-il « has been » ? Aujourd’hui en France, la problématique de la consommation de tabac chez les jeunes reste néanmoins d’actualité. En milieu scolaire et chez les médecins généralistes, comment en parler ? Comment désamorcer cette addiction ? Retour sur des exemples d’interventions probantes. Définir la place du médecin généraliste. Rappel des outils à sa disposition. Règles de prescription des substituts nicotiniques.

Données de cadrage sur la consommation de tabac des jeunes : synthèse des données de l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies et Santé publique France. Raphaël ANDLER, Chargé d'études et de recherche,
Santé publique France

Deux exemples d’interventions probantes pour prévenir le tabagisme des jeunes, expérimentées en France : ASSIST et Unplugged. Romain GUIGNARD, Santé publique France

Place du médecin généraliste dans le parcours du jeune fumeur : repérage précoce, intervention brève et/ou deuxième recours. Les outils à disposition Christian MICHEL, Strasbourg




TABLE RONDE SALLE 241
LE DES EN 4 ANS, COQUETTERIE OU NÉCESSITÉ ?
Session organisée par Le Généraliste
14h30 - 16h00
Modérateur : Christophe GATTUSO, Directeur de la rédaction

Depuis plusieurs années, les généralistes enseignants et le CMG réclament l’allongement de 3 à 4 ans du DES de médecine générale pour parfaire le cursus des futurs médecins de famille. Le sujet divise les internes, certains redoutant une année
« d’exploitation » supplémentaire à l’hôpital. Leurs représentants semblent aujourd’hui prêts à envisager un 3e cycle en 4 ans à condition notamment que cette dernière année les mette davantage en autonomie en cabinet libéral. Cette prolongation est-elle indispensable ou est-elle une lubie des responsables académiques qui souhaitent assoir la caution universitaire de leur spécialité ?

Paul FRAPPÉ, CMG

Anas TAHA, Président du SNEMG

Lucie GARCIN, Présidente de l’ISNAR-IMG

Jean SIBILIA, Président de la Conférence des Doyens



COM.ORALE SALLE 242A
VACCINATION...
Le vaccin de Jenner - R. Thom
14h30 - 16h00
Modératrice : Anne MOSNIER, Paris

Vaccination antigrippale des patients diabétiques de type 2 de la cohorte Constances : du parcours de soins à la couverture vaccinale Sylvain PAQUET, Le Kremlin-Bicêtre

Que nous apprend la concertation citoyenne de 2016 sur la vaccination ? Analyse des 6471 contributions libres ?
Jean du BREUILLAC, Thénezay

L’obligation vaccinale : étude qualitative auprès de médecins généralistes des Bouches-du-Rhône.
Éva MITILIAN, Marseille

Nouvelle législation sur la vaccination : réactions et vécu de la population générale. Aurélie JANCZEWSKI,
Saint-Jean-Saint-Nicolas




COM.ORALE SALLE 242B
PRESCRIRE, PROSCRIRE
Pharmacie - E. Hopper
14h30 - 16h00
Modératrice : Catherine GABARD, Saint-Germain-sur-Moisne

Une information de santé grand public modifie-t-elle la pratique médicale ? Pierre-Yves EUZENOT, Brest

Vomissements : doit-on les traiter ? François-Xavier VANDEPUTTE, Clermont-Ferrand

Démarche diagnostique et thérapeutique face aux troubles climatérique chez la femme en préménopause : attitudes et pratiques des médecins généralistes. Marine SIBLOT, La Cardière-d’Azur

Prescriptions médicamenteuses potentiellement inappropriées associées à la morbimortalitéchez les personnes âgées polymédiquées suivies en médecine générale : étude de cohorte FOPAS. Sophie VALLOT, Créteil



WORKSHOP SALLE 243
QUALITY INDICATORS AND THE RELEVANCE OF INDICATORS IN GENERAL PRACTICE: HOW TO CONCEIVE AND EXECUTE?
14h30 - 16h00

May quality indicators reflect the care of a general practitioner/family physician? Nowadays Europeans health systems are aware of the necessity to evaluate care quality, promote quality care provided by GPs and propose levers for improvement, such as payment for performance. This session will present work and challenges we are facing with quality indicators: what for? How? By whom? For whom?

Eva ARVIDSON MD, PhD, Research leader, R&D unit for Primary Care, Futurum, Jönköping - Sweden and member of EquiP

Linda BANAEI, Project manager, assessment and tools for care quality and safety department, HAS (French national Authority for health)

Olivier SAINT-LARY, Le Port-Marly, President of the CNGE scientific council of the University Versailles Saint-Quentin




COM.ORALE SALLE 251
PATIENT EN ACTION POUR SA SANTÉ
La liberté guidant le peuple - E. Delacroix
14h30 - 16h00
Modérateur : Jean-Louis BENSOUSSAN, Castelmaurou

Qui sont les patients experts intervenant auprès des étudiants en santé ? Revue de littérature caractérisant leur intervention et évaluant leur action. Angèle GALNON, Nantes - Victor MORIN, Nantes

Intervention de patients experts lors d’un enseignement pour améliorer l’approchecentrée patient auprès des internes en médecine général Thévy KONG, Paris

Patients enseignants au sein d'une formation interprofessionnelle, quel est leur ressenti ? Laure FIQUET, Rennes

Évaluation des informations concernant l’asthme dans les vidéos YouTube. Corentin LACROIX, Nantes



TABLE RONDE SALLE 252B
HUMANITAIRE ET DÉVELOPPEMENT, QUAND LE NUMÉRIQUE BOULEVERSEL’APPROCHE DE LA SANTÉ EN AFRIQUE
14h30 - 16h00
Modérateur : Pierre COSTES, Chargé de mission Francophonie, Secrétaire Général de l’ONG DataSanté - Grand Témoin : Bernard KOUCHNER, ancien Ministre de la Santé, co-fondateur de Médecins sans frontières et de Médecins du monde

Alors que le bitume peine à recouvrir les pistes africaines, à coup de fibres optiques et de réseaux 4G, les autoroutes de l’information débarquent aussi en Afrique. DMP, télémédecine et Big Data révolutionnent la santé du XXIème siècle.

Révolution du Big Data. Julien-Didier ADEDEMY, Professeur en urgence pédiatrique, CHU de Parakou - Bénin

L’informatisation de la première ligne. Mansour SY, Directeur de l’ONG Santé sud au Mali et Coordinateur de la
sous-région francophone Afrique de l’Ouest

La télémédecine opérationnelle. Dagmar NUBER, Business Development Manager Europe, Trice Imaging – Allemagne

Le repérage des initiatives en Afrique qui demain équiperont le continent. Béatrice GARRETTE, Directrice générale, Fondation Pierre Fabre



ATELIER DU COLLÈGE SALLE 253
MIEUX ACCUEILLIR AU CABINET LES PERSONNES LESBIENNES, GAYS, BISEXUELLES, TRANSGENRES ET INTERSEXES (LGBTI)
14h30 - 16h00
Modérateurs : Emmanuel ALLORY, Rennes, CMG - Sidonie CHHOR, Rennes

La session a pour but de sensibiliser les participants à l'accueil des personnes homosexuel.le.s, bisexuel.le.s et trans, avec bienveillance et respect. La notion de continuum dans la notion de genre, d'identités, de sexe et d'orientation sexuelle
sous-tendra l'atelier.

Coraline DELEBARRE, Psychologue, sexologue et formatrice

Thibault JEDRZEJEWSKI, Paris

Bertrand RIFF, Maison dispersée de santé, Lille

Gérard PELÉ, membre du COREVIH Ile-de-France Centre, membre fondateur et administrateur de l’association
« Les Petits Bonheurs »

Vincent PÉCHENOT, Association AIDES



COM.ORALE SALLE 224/225M
ACCÈS AUX SOINS
L'eau à la lucarne - P. Alechiusky
14h30 - 16h00
Modératrice : Marie-Françoise HUEZ-ROBERT, Tours

Les migrants connaissent-ils l’organisation du système de santé français et comment l’utilisent-ils ?
Olivier KANDEL, Poitiers

La PASS mobile COLETTE : l'aller-vers institutionnel pour les femmes en situation deprécarité. Jérémy KHOUANI, Marseille

Vaccination des migrants primo-arrivants : enquête sur les pratiques des médecins généralistes français.
Sohela MOUSSAOUI, Champigny-sur-Marne - Nicolas VIGNIER, Champigny-sur-Marne

Initier la PrEP et promouvoir la santé sexuelle en médecine générale. Agnès GIANNOTTI,Paris



ZONE D’EXPO SALLE 250A
IMPLICATIONS CIVILES ET MILITAIRES DE LA RECHERCHE
Session organisée par le Service de Santé des Armées
14h30 - 16h00
Modérateurs : Luc AIGLE, Professeur agrégé, 10ème Centre médical des armées, Marseille - Laurent PAPILLAUT DES CHARBONNERIES, Praticien certifié, 10ème Centre médical des armées, Marseille

Le Service de santé des armées est l'invité du CMGF. L'exercice de la médecine générale militaire est plurielle, souvent pensée uniquement comme étant « opérationnelle ». Elle implique cependant de sélectionner initialement les militaires, de maintenir leur potentiel santé, de les préparer à leurs missions, de les soigner au quotidien et de limiter la morbi-mortalité du quotidien ou plus spécifiquement liée aux métiers des armes et de leur logistique. L'amélioration de service rendu est constante, envers le patient et le commandement. Cette dualité spécifique à la pratique de la médecine générale au sein des armées est rapportée au travers de trois communications scientifiques, valorisant le parcours de formation spécifique de nos praticiens.

Étude n°1 : Impact de l'infection par le virus Zika sur l'état clinique et la qualité de vie des patientsà moyen terme. Étude descriptive sur un an au sein de la communauté de défense de Guyane. Hubert D’AUBIGNY, Praticien, médecin adjoint de l'antenne médicale, La Valbonne

Étude n°2 : Surpoids et obésité - État des lieux dans les armées en région Sud-Est. Delphine QUERTIER, Praticien,
médecin adjoint du régiment du service militaire adapté, La Réunion

Étude n°3 : Thèses des internes militaires de Médecine Générale depuis 2004 : quelles évolutions ? Rémi MISCHLER, Praticien, médecin adjoint de l'antenne médicale, Castelnaudary




PLÉNIÈRE AMPHI BLEU
MÉDECIN LIBÉRAL, PATIENT ET SITUATIONS SANITAIRES EXCEPTIONNELLES. AVANT, PENDANT ET APRÈS
Session organisée par le Service de Santé des Armées
16h30 - 18h00

Les soignants libéraux, médecins généralistes, pharmaciens, médecins du travail sont aux avant-postes de la menace terroriste. Acteurs fondamentaux des bons messages de formation et d’information aux populations en amont, ils restent les premiers capteurs de la santé des populations et ne peuvent faire l’impasse de se former et s’informer.

Sébastien RAMADE, Praticien certifié, Centre d'enseignement et de simulation à la médecine opérationnelle,
École du Val-de-Grâce, Paris

Hugues LEFORT, Praticien confirmé, chef de Service de la structure des urgences de l'Hôpital d'instruction des armées Legouest, Metz




PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
DIFFICULTÉS SCOLAIRES, TROUBLES DES APPRENTISSAGES : TRAVAILLER EN ÉQUIPE
16h30 - 18h00
Modératrices : Isabelle de BECO, Paris, CMG - Julie CHASTANG, Vitry-sur-Seine, CMG

Préciser le rôle des médecins généralistes dans le repérage et le suivi des troubles spécifiques du langage et des apprentissages de l’enfant. Mesurer leurs conséquences et développer la collaboration avec les autres professionnels et avec le médecin de l’éducation nationale. Souligner l’importance des inégalités sociales et territoriales dans ce domaine.

Trouble des apprentissages de l’enfant et inégalités sociales : double peine pour la vie sociale et professionnelle.
Barbara CHAVANNES, Limeil Brevannes, CMG

Les interventions des orthophonistes pour caractériser les troubles de l’enfant et accompagner leur parcours : un travail en équipe. Marie-Christel HELLOIN, Orthophoniste, Chargée de cours, Chargée de mission FNO

Le médecin de l’éducation nationale : chainon indispensable entre l’enfant, sa famille, le médecin traitant et l’environnement scolaire. Jaya BENOIT, Médecin de l’éducation nationale




SESSION SALLE 241
DES RECOMMANDATIONS À LA PRATIQUE QUOTIDIENNE : CE QUE L’INFORMATIQUE PEUT APPORTER À LA MÉDECINE GÉNÉRALE
16h30 - 18h00
Modérateur : Pascal CHARBONNEL, Vice-Président du CMG

Nous avons besoin de recommandations pertinentes pour les soins primaires, de haut niveau de preuve et présentées de manière utilisable en consultation. Pour une utilisation maitrisée, chaque étape, des résultats de la recherche clinique à l’aide à la décision doit être comprise par les médecins généralistes.

Des outils pour évaluer et réduire le risque cardio-vasculaire. Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG - Hector FALCOFF, Paris, CMG

Intégrer les recommandations françaises (HAS, INCa...) dans la plateforme EBM France. Simon FREMAUX, Cergy, CMG Claire RAMBAUD, Paris, CMG

Interfacer son logiciel métier avec des bases de connaissances structurées. Ilkka KUNNAMO, Éditeur en Chef EBM Guidelines & EBMeDS, Duodecim Medical Publications, Professeur adjoint de Médecine générale à l’Université d’Helsinki – Finlande




COM.ORALE SALLE 242A
LA PERCEPTION DES PATIENTS
Décalcomanie - B. Magritte
16h30 - 18h00
Modératrice : Yveline SEVRIN, Rouen

Perception des patients de la prise en charge de la coxarthrose en soins primaires. Lucile SAUSSEREAU, Rouen

Représentations et vécu de la migraine. Jean-Luc GRIES, Dettwiller

Vécu et représentations des consultations gynécologiques de femmes bénéficiant d’unaccompagnement par une structure dédiée au handicap mental. Diane BOUTAULT-CARADEC, Toulouse - Élise DUPONT, Toulouse

Expériences et attentes de personnes trans dans l’accès aux soins de médecine générale en France.
Marion CAROFF, Rennes - Ellie DUVAL, Rennes




COM.ORALE SALLE 242B
VACCINER…
Doctor - N. Rockwell
16h30 - 18h00
Modérateur : Henri PARTOUCHE, Paris

Image de la nouvelle obligation vaccinale au travers des médias. Fadi MALLI, Marseille

Vaccination anti-pneumococcique chez les sujets âgés de plus 65 ans non institutionnalisés. Mathilde BAUHMAUER, Kremlin-Bicêtre

Vacciner à l’ère de l’obligation élargie : vécus des médecins généralistes. Diane JEANROY, Paris

Stratégies des médecins généralistes pour informer leurs patients sur l’extension desobligations vaccinales en vigueur depuis le 1er janvier 2018. Claire LAHAYE, Paris



COM.ORALE SALLE 243
DIAGNOSTIC ET SUIVI DES PATIENTS ATTEINTS DE CANCER
Le cancer - Anonyme
16h30 - 18h00
Modératrice : Sophie AUGROS, Aime-la-Plagne

Quels sont les délais diagnostiques de cancer en soins primaires ? Estelle PAUBERT, Kremlin Bicêtre

Les représentations du cancer pulmonaire chez les patients mélanésiens de Nouvelle-Calédonie.
Johanna BATAILLARD, Annecy

Le médecin généraliste a-t-il un rôle pour les patients atteints de cancer dans l'année suivant le diagnostic ?
Marie-Caroline CREPY, Paris

Étude SINPATIC : suivi INterprofessionnel des PATIents atteints de Cancer, analyse qualitative du point de vue des oncologues. Kelly PERLAZA GIRALDO, Créteil



COM.ORALE SALLE 251
SANTÉ DE LA FEMME
La naissance de Vénus - Botticelli
16h30 - 18h00
Modérateur : Yves FOURÉ, La Rochelle

Déterminants sociodémographiques dans le choix de la méthode contraceptive chezdes femmes de 18 à 40 ans.
Philippe SZIDON, Cergy

La satisfaction des femmes vis-à-vis de leur contraception orale en améliore-t-elle l'observance ?
Adélaïde CABRERA ZURITA, Gentilly

Place du dépistage de Chlamydia trachomatis avant la pose d’un Dispositif Intra-Utérin : une méta-revue systématique de la littérature Sandra COSTE, Ayguesvives

Dépistage génétique préconceptionnel en France : quelle opinion en population générale ?Étude par questionnaire auprès de 1568 participants. Maud JOURDAIN, Nantes



COM.ORALE SALLE 252B
E-SANTÉ
Câbles téléphoniques Mexico - T. Modotti
16h30 - 18h00
Modérateur : Raphaël LOZAT, Moissac

Obeclic : outil informatique d’aide au dépistage et au suivi du surpoids et/ou de l’obésité de l’enfant en soins premier Alix PEROTIN, Lille

Dermatoclic : un SADM en dermatologie dédié aux généralistes Jérôme BERNARD, Cannes

Analyse du discours médical sur Twitter® Adrien SALLES, Marseille

#Doctoctoc / #Docstoctoc : Twitter® comme outil d’entraide entre médecins. Michaël ROCHOY, Outreau



SESSION SALLE 253
COMMENT FAIRE UN « BON » POSTER ?
16h30 - 18h00
Modératrice : Juliette PINOT, Suresnes

Communiquer les résultats de sa recherche sous forme de poster : un exercice pas si facile ! A partir d'exemples, nous essayerons d'identifier quelques "règles" pour vous aider dans la réalisation de vos posters.

Céline CASTA, Nice

Benjamin SOUDAIS, Elbeuf




ZONE D’EXPO SALLE 253
POSTER WALK
16h30 - 18h00
Chairs: Malika GHALI, La Tour d’Aigues – Jean-Claude SOULARY, Dechy

The evidence of Vitamin D. Cláudia RAMOS, Beja - Portugal

Place of sophrology in a multidisciplinary approach according to general practitioners. Andy RABIAZA, Deauville - France

Cold abscess, thinking always about tuberculosis. Mimouna SAGUENI, Salah wilaya de Tamanrasset - Algeria

Acceptable medication non-adherence: a crowdsourcing study among French physicians for commonly prescribed medications. Stéphanie SIDORKIEWICZ, Paris - France



PLÉNIÈRE AMPHI BLEU
CHIRURGIE BARIATRIQUE : PARCOURS, PERTINENCE ET SUIVI
Session co-organisée avec la CNAM
09h00 - 10h30
Modérateur : Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG - Jacques MEURETTE, Président de la commission de hiérarchisation des actes, CNAM

Le nombre d’interventions par chirurgie bariatrique a été multiplié par 3 entre 2006 et 2014. 50 000 nouveaux patients sont opérés chaque année et on estime désormais à 500 000 le nombre de personnes qui ont bénéficié d'une opération de chirurgie bariatrique dans le passé. Ces chiffres qui sont en hausse, pour un traitement qui n’est pas anodin et nécessite un suivi à vie, posent des questions essentielles :
- Quelles sont les « bonnes indications » ?
- Quelles sont les « bonnes interventions » ?
- Quel est le « bon suivi » ? Par qui et comment ?
- Quel est le rôle du médecin traitant dans le suivi des patients obèses, dans la décision chirurgicale, dans le suivi post-opératoire ?
- Quel est le « bon parcours » pour ces patients ?
- Quelle est la place du patient dans ce parcours ?

Prise en charge chirurgicale de l'obésité. Philippe MARRE, Chirurgien, Secrétaire général honoraire de l'Académie Nationale de Chirurgie

Chirurgie bariatrique, obésité et parcours. Olivier ZIEGLER, Coordinateur des centres spécialisés en obésité

Préparation psychonutritionnelle à la chirurgie bariatrique. Jean-Philippe ZERMATI, Médecin nutritionniste et psychothérapeute, Président d'honneur du Groupe de Réflexion sur l'Obésité et le Surpoids (GROS)

Chirurgie Bariatrique : pertinence et parcours. Le point de ma CNAM. Jacques MEURETTE, Président de la commission de hiérarchisation des actes, CNAM
Quelle place, quels rôles pour le médecin généraliste ? Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG



PLÉNIÈRE SALLE MAILLOT
ERRANCES DIAGNOSTIQUES : COMMENT EN SORTIR ?
Modérateurs : Céline BUFFEL du VAURE, Paris, CMG - Bernard GAY, Bordeaux, CMG
09h00 - 10h30
Modérateurs : Céline BUFFEL du VAURE, Paris, CMG - Bernard GAY, Bordeaux, CMG

Les plaintes inexpliquées conduisent souvent à des impasses médicales qui génèrent une escalade diagnostique et thérapeutique délétère. À partir de la présentation de situations d’errances diagnostiques dans une démarche interdisciplinaire, la discussion a pour objectif d’envisager des réponses plus adaptées pour le patient et plus confortables pour le médecin. Une approche globale du symptôme permet de respecter les représentations et les choix du patient et de proposer une décision partagée.

Les symptômes médicalement inexpliqués. Olivier NARDON, Mantes-la-Jolie

Approche socio-anthropologique de l’errance diagnostique : la borreliose de Lymecomme analyseur.
Christian MICHEL, Strasbourg, CMG

Approche psychique des troubles somatoformes. Albert OUAZANA, Paris, CMG




COM.ORALE SALLE 241
SOINS NON PROGRAMMÉS
La grande vague de Kanagawa - Hokusai
09h00 - 10h30
Modérateur : Bernard FRÈCHE, Vaux-sur-Mer

Étude qualitative des pratiques de 14 médecins généralistes parisiens confrontés à la prise en charge de victimes d’attentat. Sophie TELLIER, Bondy

Comment les secrétaires médicales en cabinet de médecine générale trient-elles les demandes de soins non programmés ? Marielle PUECH, Decazeville

Pourquoi les patients, en médecine ambulatoire, privilégient-ils l’appel au centre 15 enjournée ?
Sophie ASSOUVIE, Le Robert

Quelles sont les motivations des patients consultant au Service d'Accueil des Urgences pour des motifs relevant d’une consultation de médecine générale ? Benoit CAMBON, Clermont-Ferrand



COM.ORALE SALLE 242A
VIOLENCES
Le verrou - Fragonard
09h00 - 10h30
Modérateur : Jean-Claude SOULARY, Dechy

Violences conjugales et sexuelles : un enjeu de santé publique. Saphia LARABI, Paris

Formation sur le repérage et la prise en charge de femmes victimes de violences, organisée par l'association SOS Femmes Solidarité et le syndicat AGJIR : impact sur les pratiques des professionnels de santé de premier recours.
Marion MOREAU, Strasbourg

Formation au dépistage systématique des violences faites aux femmes en consultation de premier recours : retour d'expérience. Yannick SCHMITT, Lingolsheim

Vécu des hommes victimes de violences conjugales : étude qualitative par entretiens semi-dirigés d’hommes ayant consulté à l’Unité Médico-Judiciaire du CHU de Toulouse. Laëtitia GIMENEZ, Toulouse



SESSION SALLE 242B
RECHERCHE EN SOINS PRIMAIRES : ET POURQUOI PAS VOUS ?
09h00 - 10h30
Modératrice : Aline RAMOND-ROQUIN, Angers

Cette session vise à :
- sensibiliser les cliniciens aux enjeux de la recherche en soins primaires
- échanger avec eux sur les motivations et freins à s’investir comme investigateur ou chercheur
- débattre, entre chercheurs et cliniciens, sur les problématiques liées à la mise

Tiphanie BOUCHEZ, Nice

Matthieu SCHUERS, Rouen

Jean-Laurent THÉBAUT, Paris

Patrick BASTIEN, ASALÉE



ORAL COM. SALLE 243
MEDICAL CARE COORDINATION
Me somewhere else - C. Shiota
09h00 - 10h30
Chair: Malika GHALI, La Tour d’Aigues

A successful approach to recruitment and retention of rural general practitioners
Maria HVALKOF O’SHEA, Busselton - Australia

Interregional coordination for personalised health. Donata KURPAS, Wroclaw - Poland

How primary care and public health interact in local health contracts? A qualitative analysis of “Contrat Local de Santé”. Candan KENDIR, Paris




COM.ORALE SALLE 251
DÉVELOPPEMENT DE L'ENFANT
Les mobiles - A. Calder
09h00 - 10h30
Modérateur : Pierre FRANCES, Banyuls-sur-Mer

Comment repérer et dépister la dyslexie en médecine générale ? Milène COUTURIER, Saint-Étienne

Trajectoires développementales des troubles du comportement chez l'enfant de 6 ansdans la cohorte PELAGIE.
Katharina APPEL, Rennes

Troubles psychiques chez l’enfant et l’adolescent en médecine générale : prévalenceet procédures de soins mises en place. Étude transversale rétrospective à partir de la base de données ECOGEN. Élina JEHIN, Strasbourg

Vécu de parents d'enfants atteints de troubles neuro-développementaux. Anaëlle LINDIVAT, Paris



POSTERS COMMENTÉS SALLE 252A
RISQUES INFECTIEUX ET SOLAIRES
Marquises - Gauguin
09h00 - 10h30
Modératrice : Annie CATU-PINAULT, Paris

Étude des risques solaires en milieu scolaire tropical – Centre Sud de la Martinique. Sophie GUFFROY, Fort de France - Martinique

Motivations à entreprendre une prophylaxie pré-exposition du VIH chez les HSH : approche phénoménologique
(étude MotivPrEP) Marie BISTOQUET, Montpellier

Étude rétrospective sur la tuberculose à l’EPSP de Tlemcen sur une période de 10 ans(2003 – 2012) Omar SARL, Tlemcen - Algérie

Évaluation du niveau de connaissances, attitudes et pratiques relatives à la maladie à virus Ebola chez les hommes en uniforme à Conakry. Houssainatou SOW, Conakry - Guinée



COM.ORALE SALLE 221/222M
ADDICTIONS
L'heure verte - H. Toulouse-Lautrec
09h00 - 10h30
Modératrice : Marion THÉVENOT, Combs-la-Ville

Les enfants et les écrans : représentations et pratiques des assistantes maternellesdans leur activité.
Vanessa Le GALL, Bain-de-Bretagne

Sevrage tabagique : congruence d'une approche patientèle en cabinet et mois sanstabac. Thierry GOREAU, Dignac

La mortalité attribuable à l’alcool en France en 2015 Christophe BONALDI, Saint-Maurice




ZONE D’EXPO SALLE 250A
LES GESTES QUI SAUVENT
Session organisée par le Service de Santé des Armées
09h00 - 10h30

Du secourisme au combat aux gestes réflexes à avoir face à une ou plusieurs victimes de lésions potentiellement vitales, la méthode d'évaluation et de prise en charge à l'avant du service de santé des armées permet au soignant libéral, au médecin généraliste de limiter les risques de décès évitables.

A l'issue de cet atelier, il sera en mesure de s'ajuster à de telles situations avec peu de moyens, avec efficacité et en initiant un parcours de soin cohérent.

Simon-Pierre COROCOSTEGUI, Praticien, médecin adjoint de l'antenne médicale spécialisée de Satory, Versailles

Hugues LEFORT, Praticien confirmé, chef de service de la structure des urgences de l'Hôpital d'instruction des armées Legouest, Metz

Sébastien RAMADE, Praticien certifié, Centre d'enseignement et de simulation à la médecine opérationnelle, École du Val-de-Grâce, ParisUn infirmier CESimMO EVDG Un infirmier BSPP




PLÉNIÈRE AMPHI BLEU
LA TÉLÉMÉDECINE : ACTUALITÉS ET MISE EN PRATIQUE
11h00 - 12h30
Modérateur : Serge GILBERG, Paris, CMG

La télémédecine : un outil au service du patient et du médecin ou un nouveau marché ?
- Quel intérêt pour le patient et le médecin ?
- Quel est le cadre conventionnel et médico légal ?
- Quel impact sur la qualité et la sécurité des soins ?

Claude BRONNER, Strasbourg

Badis HADROUF, Paris

Jacques LUCAS, Délégué général au numérique, Ordre national des médecins




TABLE RONDE SALLE MAILLOT
VIOLENCES INTRAFAMILIALES : QUEL RÔLE POUR LE MÉDECIN GÉNÉRALISTE ?
11h00 - 12h30
Modératrices : Laure ROUGE, Gannat - Mathilde VICARD-OLAGNE, Le Vernet la Varenne

Bien que fréquentes, les violences conjugales et les maltraitances infantiles sont difficiles à repérer par le médecin et difficiles à révéler pour la victime. En tant que médecin de famille, nous connaissons parfois les auteurs et les victimes de violences. Comment pouvons-nous les repérer ? Face à ces situations complexes de violences dans la famille, que pouvons-nous faire et que devons-nous faire ?

Gilles LAZIMI, Paris

Hélène ROMANO, Psychologue clinicienne

Laurence VENEAU, Médecin de Protection Maternelle et Infantile (PMI) et Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes (CRIP), Seine-Saint-Denis




COM.ORALE SALLE 241
RISQUES CARDIO-VASCULAIRES
Les deux Frida - F. Kahlo
11h00 - 12h30
Modérateur : Alexandre MALMARTEL, Morsang-sur-Orge

Liens entre le niveau de LDL cholestérol et le genre chez les patient-e-s diabétiques de type 2 pharmacologiquement traité-e-s : apports de la cohorte Constances. Sylvain PAQUET, Le Kremlin-Bicêtre

Prescriptions des médecins généralistes dans l'hypertension artérielle traitée enprévention primaire. Une étude épidémiologique transversale et descriptive auprès de 1030 patients en Auvergne Claudine BIGOT-SAZY,
Clermont-Ferrand

Évaluation de la qualité de vie des franciliens traités par statine en 2018. Ouma Cécilia COUMAR, Les Ulis

Ce que ressentent les patients hypertendus concernant leur régime hyposodé Lucie RIEU-CLOTET, Montpellier



COM.ORALE SALLE 242A
NOUVEAUX MODES D'ORGANISATION
La danse - P. Matisse
11h00 - 12h30
Modérateur : Hector FALCOFF, Paris

Consultation médecin-infirmière-patient support aux équipes de pratique avancée ? Jean-Marc VIALLE, L'Isle-d'Espagnac Véronique BONNIOL, L'Isle-d'Espagnac

Création d’une communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS). Julien LE BRETON, Boulogne-Billancourt

Les réunions de concertation pluriprofessionnelles (RCP) en soins primaires : débuts prometteurs et évolutions à venir en région Grand-Est. Alexandre DIDELOT, Nancy




COM.ORALE SALLE 242B
TRAITER AUTREMENT
Interpellation - J. Royer
11h00 - 12h30
Modérateur : Philippe JAURY, Paris

Impact d'une formation à l'hypnose pour des médecins généralistes d'Ile-de-France François RAINERI, Massy

Luminothérapie dans l'insomnie chronique : revue systématique de la littérature. Juliette CHAMBE, Strasbourg

Les représentations de l’hypnose des patients fumeurs ayant eu recours aux techniques hypnotiques pour leur sevrage tabagique en Ile-de-France. Pascale ARNOULD, Provins




WORKSHOP SALLE 243
PREVENTING FRAILTY BY PHYSICAL ACTIVITY AND APPROPRIATE DIET
11h00 - 12h30

Physical activity and appropriate diet are one of the main means to prevent frailty. With the presentations of:

- Pr Donata Kurpas, MD, PhD, Assoc. Prof. with habilitation (Poland) Full time senior researcher and lecturer at the Department of Family Medicine, Wroclaw Medical University (WMU). Head of the International Advisory Board (IAB) of the European Rural and Remote Practitioner Association (EURIPA)
- Dr Jean-Baptiste Kern junior lecturer Université Grenoble Alpes (UGA) Honorary secretary of EURIPA France.
And the experiences of the attendees regarding their own experiences to increase senior’s physical activities, and appropriate diet.
The attendees will discuss:

- what tests before prescribing physical activity?
- how to reach the target of an appropriate diet for frailty patients ?
- how and what to prescribe ?

We expect a better patient-GP relationship to increase patient adherence to physical activity and good diet.

Donata KURPAS, Wrocklow University-Poland, EURIPA member - Poland

Jean-Baptiste KERN, Virieu-sur-Bourbre




POSTERS COMMENTÉS SALLE 242A
NOUVELLES TECHNOLOGIES AU SERVICE DU SOIN ET DE LA FORMATION
L'homme de Vitruve - Léonard de Vinci
11h00 - 12h30
Modératrice : Gladys IBANEZ, Paris

Ressenti des médecins généralistes sur un exemple de recherche collaborative entrela médecine ambulatoire et le centre hospitalier universitaire régional de référence : le projet « Ange gardien » Clémence RICHTER, Bordeaux

Quels sont les éléments qui structurent les préliminaires de la consultation en médecine générale ?
Analyse conversationnelle à partir d’enregistrements vidéos de consultation en médecine générale Jean-Baptiste BOYER, Guyancourt

BabelDr, un outil innovant de traduction du langage médical pour patients allophones Sanae MAZOURI,
Divonne-les-Bains

Mise en œuvre d’une Supervision par observation directe avec ENregistrement vidéo (SODEV) en Situation Authentique de Soins : étude SENSAS. Tan-Trung PHAN, Fontainebleau - Younes TOUATI, Paris



ZONE D’EXPO SALLE 250A
LE TRAVAIL EN ÉQUIPE EN FRANCE ET À L'ÉTRANGER : REGARDS CROISÉS
Session organisée par le Service de Santé des Armées
11h00 - 12h30
Modérateurs : Luc AIGLE, Professeur agrégé, 10ème Centre médical des armées, Marseille Hugues LEFORT, Praticien confirmé, Chef de service de la structure des urgences de l'Hôpital d'instruction des armées Legouest, Metz

L'une des missions principales du service de santé des armées est le soutien des forces militaires. Au travers de trois retours d'expérience de médecin généraliste, l'auditeur pourra percevoir la pluralité des missions et des savoir-faire exigés. Occasion de discuter, de s'intéresser et de permettre aux praticiens civils de nous rejoindre dans de telles aventures humaines, techniques et de soins au sein de la réserve opérationnelle du service de santé des armées.

Retour d’expérience n°1 : Tremblement de terre à Haïti, le soignant face à une catastrophe naturelle
Farid AIT-MOHAMMED, Cadre de santé, 10ème Centre médical des armées, Marseille

Retour d’expérience n°2 : Soignant au sein d’une équipe chirurgicale déployée en opération extérieure.
Karine MALINGE, Infirmière militaire, Structure des urgences, Hôpital d'instruction des armées Legouest, Metz

Retour d’expérience n°3 : Management d’un cabinet pluridisciplinaire militaire. Farid AIT-MOHAMMED, Cadre de santé, 10ème Centre médical des armées, Marseille




ZONE D’EXPO SALLE 250B
COMMENT UTILISER DES OUTILS D'INFORMATION POUR EN FAIRE DES OUTILS CENTRÉS PATIENTS ? OUTILS VISANT À UNE DÉMARCHE « QUESTIONNEMENT INFORMATION QUESTIONNEMENT ».
11h00 - 12h30

Livret « J’ai des soucis dans la tête. Et si on en parlait ensemble ? » pour aider l’enfant à les exprimer. Daniel ANNEQUIN, Psychiatre, cofondateur de l’association Sparadrap

« SantéBD » outils créés en fonction des besoins spécifiques de chaque handicap de l’enfant. Pauline d’ORGEVAL, Paris, cofondatrice de l’association CoActis Santé

Des outils d’informations pour construire avec le patient une décision. Éric DRAHI, Saint-Jean-de-Braye, CMG




CÉRÉMONIE SALLE MAILLOT
CÉRÉMONIE DE CLÔTURE
12h45 - 14h15

Mike HOLMES, Vice-Président adhésions et réseau international, Royal College of General Practice - Royaume-Uni

Isabelle CIBOIS-HONNORAT, Présidente du Comité Scientifique du CMGF 2019

Paul FRAPPÉ, Président du Collège de la Médecine Générale